tag:blogger.com,1999:blog-35871651.post2360245857765595057..comments2024-02-09T10:05:47.995+01:00Comments on Desperate Librarian Housewife: La VODSophie Bibhttp://www.blogger.com/profile/09254396651423678170noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-35871651.post-65752872863144328772007-12-10T23:45:00.000+01:002007-12-10T23:45:00.000+01:00Merci de cette réponse !Je retiens deux choses :1)...Merci de cette réponse !<BR/>Je retiens deux choses :<BR/><BR/>1) "Pourquoi proposer la même chose que ce que l'on trouve sur le net mais en plus compliqué ?"<BR/>Cette idée revient souvent dans les discussions. Dans le monde physique, on trouve à la bibliothèque à la fois plus (des collections telles qu'elles ne se trouvent pas dans le commerce) et moins (on n'est jamais sûr d'avoir exactement ce qu'on veut surtout si c'est ce que tout le monde veut en même temps). Dans le monde dématérialisé, on ne sait plus. Je crois que c'est trop tôt pour savoir. Une des hypothèses est qu'il n'y a plus rien à offrir sinon sur un créneau particulier comme le local : ce serait une rupture avec la bibliothèque-médiathèque de masse développée à partir des années 80. Nous verrons.<BR/><BR/>2) Les quelques offres actuelles nous emprisonnent dans le catalogue d'un fournisseur, ce n'est plus NOTRE catalogue, la collection que nous avons constituée. Deux hypothèses : ou bien c'est un moment à passer, celui de l'émergence par petits bouts, patientons. Ou bien c'est celui de la maîtrise documentaire perdue. Je crois assez à cette dernière hypothèse car elle est déjà à l'oeuvre en BU, avec les bouquets des fournisseurs de périodiques en ligne. Et à propos de valeur ajoutée, il m'est venu, en discutant avec un de ces rares fournisseurs numériques pour bibliothèques qui me disait que ses clients voulaient absolument choisir, donc retirer du catalogue offert sans que le forfait ne diminue, qu'on en était plutôt à la "valeur diminuée".<BR/><BR/>Nous vivons des temps décicément troublants.Anonymousnoreply@blogger.com